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Catalogue et Atlas des Coleopteres d'Alsace, Tome 6 Scolytidae

Flora / Fauna Distribution Atlas Out of Print
By: Claude Schott(Author)
85 pages, 5 plates with b/w line drawings; 84 b/w distribution maps
Catalogue et Atlas des Coleopteres d'Alsace, Tome 6
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  • Catalogue et Atlas des Coleopteres d'Alsace, Tome 6 ISBN: 9782908980059 Paperback Dec 1994 Out of Print #170860
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About this book

Language: French

Volume 6 covers the beetle family Scolytida. New records for the region are described below.

Summary in French:

Les espèces nouvelles pour la région sont précédées du numéro d'ordre FHL

- Scolytus carpini Ratz., qui n'est observé que sporadiquement chez nous, comme d'ailleurs dans toute son aire de répartition, a été repris au printemps 1994, sous l'écorce d'une bille de charme en forêt communale d'Oberhergheim (68) par D. Adam (ONF), et un peu plus tard au Herrenwald (67), 30-VII-1994, 3 ex. sur des branchages de charme fraîchement coupés (Callot).
- Scolytus laevis Chapuis, qui n'était connu de la région que par une capture du début du siècle (signalée par une note en page 14 du catalogue), a été obtenu en nombre à deux reprises de la forêt communale de Sewen (68), éclos de branches d'orme de montagne, le 14-IV-1989 et le 22-V-1995. Communication personnelle de B. Schmeltz (ONF) qui nous en a adressé un bel échantillonnage.
- Une deuxième station pour Phthorophloeus spinulosus Rey: Champ du Feu (67) à 1000 m, VII-2000, restes de 3 ex. sous l'écorce d'une branche d'épicéa gisant au sol (Schott). Ce Scolyte est certainement rare dans la région; sa recherche a parfois presque tourné à l'obsession et sans grands résultats, comme on peut le voir.
- Phloeotribus caucasicus Reitter 1891, espèce orientale connue depuis peu également d'Allemagne du Sud-Ouest, a été découvert le 30-V-1994 par H.J. Callot au battage de branchages de frêne dans une coupe en forêt de Hindisheim (67), forêt où de nombreuses nidifications ont pu être observées le 18-VI-1994 (Schott-Callot). Espèce reprise par Callot à Strasbourg, à proximité du Jardin Botanique, le 20-IV-2012, lampe UV, 1 ex.
- Pour la description de son système de galeries et des particularités morphologiques qui permettent de le distinguer de Phloeotribus scaraboides Bernard, voir "Trois Coléoptères Scolytides nouveaux pour la faune de France observés en Alsace (Xyleborus peregrinus Eggers, Lymantor aceris Lindemann, Phloeotribus caucasicus Reitter)" par C. Schott et H. J. Callot. Bull. Soc. Ent. Mulhouse, 1994, 67-70.
- Hylurgops glabratus Zett. Sorel avait pris également cette rare espèce au Gazon du Faing (68-88)), 22-VI-1975.
- Une capture supplémentaire de Dendroctonus micans (Kug.): Orbey (68), Forêt Domaniale des Deux Lacs, 19-VIII-2000, 1 ex. dans la base d'un épicéa brisé par le vent (Schott). Décidément rare dans la région; on espère toujours trouver cet arbre ravagé par l'espèce, décrit et reproduit dans la littérature, truffé de galeries et dégoulinant de résine.
- Carphoborus minimus (F.) semble bien installé dans le Haut-Rhin. Il a pu être largement confirmé des forêts sèches de la Hardt et même ponctuellement d'un bosquet du piémont: Forêt de Rothleible, secteurs de Hirtzfelden (68) et Réguisheim (68), 4-VIII-2000, 2+3 ex. dans l'écorce fine de troncs et de branches de pin sylvestre; Forêt d'Oberhergheim (68), VI et IX-2000, II-2001, 10+34+40 ex., dans des branchettes de pin noir d'Autriche; Forêt de Roggenhouse (68), 4-VIII-2000, 2 ex. dans le pin sylvestre; Rouffach (68), Bollenberg, XII-2000, 12 ex. dans le pin sylvestre (Schott).
- 91 20 02 Crypturgus hispidulus Thomson que nous avions laissé en réserve, existe bien en Alsace. Espèce proche de C. pusillus (Gyll.), mais plus grande en moyenne, à stries élytrales plus régulièrement et plus fortement ponctuées et à pubescence des interstries nette, forte et présente quasiment sur l'ensemble des élytres (non confinée à la partie postérieure comme chez pusillus). Rencontrée surtout sur l'épicéa, dans les Vosges en altitude ou dans le nord de la région: La Petite Pierre (67), VII-1986, nombreux ex.; Dossenheim-sur-Zinsel (67), Johannisthal, III-1993, nombreux ex.; Stosswihr (68), vers le Col de la Schlucht, VII-1993, 5 ex.; id., Hirschsteine, VII-2000, 8 ex.; Grandfontaine (67), Donon, VII-1993, 2 ex.; Engenthal (67), Schneeberg, IX-1993, 3 ex.; Eguelshardt (57), Waldeck, III-1993, 6 ex. (Schott).
Signalée également d'Allemagne proche, du Pays de Bade et du Palatinat.
- Lymantor aceris Lindemann a été pris à Hirtzfelden (68), 15-V-2002, 1 ex. (Schmeltz). Il s’agit de la deuxième donnée pour la région.
- 91 23 04 Thamnurgus varipes Eichhoff. Alerté par un collègue (Laclos) qui s'étonnait de l'absence de cette espèce de notre catalogue, nous avons entrepris dès juin 2000 la surveillance de quelques colonies d'Euphorbia amygdaloides, l'euphorbe des bois, sa plante-hôte principale, dans quelques stations forestières ensoleillées du Bas-Rhin. Dans l'une d'elles, Oberhaslach (67), Forêt de Haslach, des trous d'entrée caractéristiques et des nidifications déjà avancées avec des larves de belle taille ont été observés dès fin-juin et des adultes immatures fin-juillet (Schott).

Comme indiqué par Laclos, l'espèce recherche les plantes les plus vigoureuses, surtout celles des lisières et des bords de chemins. Elle pond dans les tiges fleuries et le développement larvaire, qui se fait surtout au détriment de la moelle, n'entraîne pas, comme chez T. kaltenbachi Bach sur La germandrée (Teucrium), la formation de galles et le dépérissement de la partie de la plante située au dessus. Après la nymphose, les immatures encore très pâles, à peine durcis, sont déjà très actifs et effectuent sans relâche des repas de maturation. A ce stade on les observe dévorant les parties ligneuses fines de la tige proches du canal médullaire et, plus curieusement, les bourrelets de latex secs qui se sont formés autour des trous d'entrée et près d'anciennes blessures de la tige. La coloration brun-noir définitive n'est atteinte le plus souvent qu'au bout de trois ou quatre semaines.

Comme c'est probablement également le cas chez kaltenbachi, les générations de varipes se recoupent: des individus frais en maturation sont déjà présents dans les tiges en juillet-août alors que l'ancienne génération continue de creuser des nidifications dans des tiges vertes (Schott, Callot).

- 91 24 01a Dryocoetes hectographus Reitter est, pour ne citer que Balachowsky, “une relique glaciaire réfugiée en France comme en Europe centrale dans les hautes pessières spontanées entre 800-1200 m". Il était signalé des Alpes et des Pyrénées. Nous l'avons trouvé également dans les Hautes-Vosges Cristallines, précisément dans la zone des aires naturelles probables de l'épicéa, entre 1000 et 1200 m: Col de la Schulcht (68), sous le Spitzenfels dans le petit cirque des Hirschsteine, 6 et 8-VII-2000, 16 ex.; Le Bonhomme (68), Col du Louchpach, 11-VIII-2000, 2 ex.; Orbey (68), Forêt Domaniale des Deux Lacs, 19-VIII-2000, 9 ex. (Schott).
- Dans la première station, D. hectographus nidifiait seul dans un court tronçon (3 m) de cime brisée gisant dans un sous-bois dense et obscure. Dans les autres, les arbres presque complets tombés dans des trouées forestières étaient majoritairement investis par D. autographus Ratzeburg, espèce assez commune dans la région, en plaine comme en altitude.
- 91 24 XX Dryocoetes himalayensis Strohmeyer, 1908 est signalé de Heiwiller 68, 1-II-1975, donnée transmise par Milos Knizek à Th. Noblecourt.
- 91 29 05 Pityophthorus carniolicus Wichmann n'était connu jusqu'ici que du sud de l'Europe moyenne, Yougoslavie, Moravie, Bohème, Slovaquie, Autriche, Suisse, Allemagne (Bavière et Pays de Bade). Le premier exemplaire de cette espèce a été pris dans la région en juin 2000, de très nombreux autres ultérieurement en septembre 2000 et février 2001 en lisière de la forêt d'Oberhergheim (68). Il ont été pris chaque fois en compagnie de P. pubescens (Marsh.) et Carphoborus minimus (F.), dans le pin noir d'Autriche, précisément dans des branchettes d'un à et de deux ans de grandes branches maîtresses brisées par la tempête de décembre 1999, mais restées accrochées en hauteur sur leurs arbres. Privées de sève, elles ont pu être colonisées dès le printemps 2000 (Schott).

Les galeries larvaires de carniolicus sont creusées le plus souvent dans l'épaisseur même de l'écorce contrairement à celle de pubescens qui sont sous-corticales et entament sensiblement le bois. Carphoborus minimus qui prend le relais en amont dans les branchettes de deux à trois ans, creuse lui son système de galeries entièrement dans le bois, le face inférieure de l'écorce n'étant pas ou à peine touchée.

Plus loin, dans les parties plus fortes des branches, nidifiaient Pityogenes quadridens (Hartig), P. bidentatus (Hbst), P. trepanatus (Nördl.) et Orthotomicus erosus (Woll.).

La parcelle concernée est un boisement clairsemé de pins noirs d'Autriche et de chênes dominant une fruticée dense en voie de colonisation par le robinier. Elle a été fortement sinistrée par la tempête: la quasi-totalité des pins, des arbres de près d'un siècle d'âge, a été couchée ou brisée par la tempête.

Voir "Pityophthorus carniolicus Wichmann, 1910 Coléoptère Scolytidae nouveau pour la France par C. Schott. Bull. Soc. Ent. Mulhouse, 2000, 54, 55.

- Pityogenes trepanatus (Nördlinger) n'était connu de la région que par un exemplaire unique de Matt, du Scharrach à Dahlenheim (67). Il a été confirmé de cet endroit les 4 et 29-VII-2000, 9 ex. ainsi que d'une station proche, en forêt de Westhoffen (67), 30-VI-2000, 1 ex., chaque fois dans le pin noir d'Autriche. Il a été trouvé également dans le Haut-Rhin en forêt de d'Oberhergheim (68), 4-VIII-2000, 2 ex., 15-IX-2000, 6 ex., toujours dans la même essence (Schott).
- Orthotomicus proximus (Eichh.) a été repris en Forêt de la Harth Nord: Rumersheim-le-Haut (68), 13-VIII-2000, >100 ex. "prêts à sortir", sous l'écorce fine vers le haut du tronc de quelques pins sylvestres abandonnés au soleil le long de la départementale 47 (Schott). Voir " Détermination des Orthotomicus de France (Coleoptera, Scolytidae) par Claude Schott. Bull. Soc. Ent. Mulhouse, 2002, 4-6. Cette espèce a également été reconfirmée du Bas-Rhin, de la Forêt de Haguenau, Schweighouse-sur-Moder, 20-V-2006, 45 ex. dans le pin, sous l'écorce épaisse d''un morceau de tronc et sous l'écorce fine de grosses branches (Schott).
- 91 34 04 Orthotomicus erosus Woll. a été pris dans des forêts sèches et chaudes de la plaine haut-rhinoise: Hirtzfelden (68), Forêt de Rothleible, 4-VIII-2000, 15 ex. immatures en loge sous l'écorce fine d'un tronc de pin sylvestre; Forêt d'Oberhergheim (68), 4-VIII-2000, 15-IX-2000, 25-II-2001, 2+8+8 ex. sous l'écorce de branches et de troncs de pin noir d'Autriche abattus par le vent (Schott).
Il était bien indiqué "très commun dans toute la France" par Balachowsky mais sans aucune indication précise pour l'Est au-delà du Bassin de la Seine. Signalé de Suisse, mais jusqu'ici pas d'Allemagne.
Voir " Détermination des Orthotomicus de France (Coleoptera, Scolytidae) par Claude Schott. Bull. Soc. Ent. Mulhouse, 2002, 4-6.

- Ips cembrae (Heer) n'était connu que par un ex. de Matt, de Moselle limitrophe, capture d'un secteur proche de scieries que nous avions même été tenté de prendre pour accidentelle. Depuis l'inspection de nombreux mélèzes sinistrés par la tempête de 1999 nous a permis de lever le doute et de le confirmer également des deux département alsaciens. Il semble bien établi dans les Vosges au Nord de la région à faible altitude, mais n'a été trouvé jusqu'ici dans le Haut-Rhin que localement , dans une station forestière des contreforts vosgiens, juste au-dessus de la limite du vignoble.
Nouvelles données: Wimmenau (67), Forêt Domaniale d'Ingwiller, 8 et 12-VI-2001; Erckartswiller (67), Forêt de la Petite Pierre Sud, 12-IV-2001; Engenthal (67), Obersteigen, 6-V-2001; Forêt Domaniale de Westhalten (68), 13 et 26-I-2201; chaque fois dans de larges trouées (jamais sur des arbres tombés en sous-bois), nidifiant en nombre surtout vers le haut du tronc et à la base de grosses branches (Schott).
Cette espèce est répandue surtout dans les aires naturelles du mélèze, des Alpes à la Laponie, de la Suède au Japon et s'acclimate progressivement dans les plantations artificielles (Schedl).

- Le Scolyte qui figure sous le nom de Xyleborus peregrinus EGGERS, 1944, dans les tables de Pfeffer – et donc dans le tome 6 de notre série de catalogues –, est en réalité Xyleborus bodoanus REITTER, 1913 (= X. punctulatus KURENZOV, 1948). Tel est le résultat de la diagnose de Michail Yu. Mandeltshtam, de Saint Pétersbourg, taxonomiste spécialisé dans les Scolytidae qui m’a alerté après avoir vu les clichés de cette espèce sur mon site et qui a examiné depuis un échantillonnage de mes exemplaires de la région.

Nous savions déjà par une publication de Carolus Holzschuh, de 1994, que l’unique exemplaire décrit par Eggers sous le nom de X. peregrinus n’était en fait qu’une femelle de X. saxeseni (RATZ.), femelle présentant une granulation du deuxième interstrie exceptionnellement forte au niveau de la déclivité.
Il restait à savoir qui se cachait derrière ce taxon manifestement erroné; voilà, c’est chose faite.
Mandelshtam précise que « Xyleborus bodoanus est une espèce de l’extrême est de la Russie, de la Chine et de la Corée, introduite en Europe et aux Etats-Unis.
Se développant surtout sur Quercus mongolica dans son aire d’origine, elle n’aura eu aucune difficulté à s’adapter à nos espèces locales en particulier à Quercus robur. »
Jusqu’ici à sa connaissance la donnée alsacienne de 1960 demeure la plus ancienne connue pour l’Europe occidentale.

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By: Claude Schott(Author)
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